2022 : une saison normale ? C'est ce à quoi nous aspirons tous après deux longues années de confinement et d'annulations d'épreuves. Cette année devrait être un meilleur crû et souhaitons-le pour tous la reprise d'une vie normale. Et d'un entraînement optimal, avec les dégâts qu'auront pu poser des entraînements aléatoires et les problèmes de santé.
Voici donc le programme des réjouissances avec les prochaines épreuves de triathlons 2022 avec les lieux, dates, contacts et sites Internet pour vous inscrire, sur toute la France.
Le sud est définitivement la terre d'élection des organisateurs du label Ironman. Avec la création le 22 mai 2022 d'un nouveau triathlon au format full distance à Aix-en-Provence, la carte délimitée par l'Ironman de Vichy et celui de Nice conforte la place de ces épreuves dans le quart sud-est de la France.
Certes, Aix-en-Provence organisait déjà l'un des premiers Ironman 70.3 en Europe. Et, par son ancienneté, a été privilégié par rapport à la Vendée (70.3 également) qui ne cache pas depuis sa création son ambition d'obtenir la distance XXL...
La saison internationale 2021 de swimrun n'a pas été épargnée par la crise du Covid-19 !
Elle doit (enfin) débuter dans l'archipel de Stockholm, dans le berceau de la discipline, là où il y a 19 ans, un pari de fin de soirée s'est transformée en un défi de 70 km de course avec la traversée d'une vingtaine d'îles. Et la naissance du swimrun, en Suède.
Le swimrun d'Utö démarre donc le 19 juin avec quelques restrictions sanitaires...
Avec le lancement de la Forerunner 745, Garmin a pris un virage dans la conception du milieu de gamme Forerunner de ses montres de sport. Tant côté design que fonctionnalités, le pari a été ambitieux. Car cette version totalement repensée pour le triathlon intègre non seulement les fonctions auxquelles la gamme des grandes (série 900) nous a habitués. Mais les enrichit.
Principale faiblesse, la capacité de la batterie. Et surtout une petite déception par rapport à la promesse d'une couche d'intelligence artificielle ajoutée notamment sur les suggestions de séances et de récupération, pas encore très opérationnelles. Retour sur un mois et demi de test.
Organisées entre les mois de mars et juin, de nombreuses épreuves de triathlon ont dû annuler leur édition 2020. S'il s'agit de la majorité des organisateurs, d'autres en revanche ont décidé de "sauver" leur épreuve en la déplaçant plus tard dans la saison. Un exercice compliqué alors que les épreuves de seconde partie de saison sont devenues plus nombreuses ces dernières années.
Ce qui n'est pas non plus sans susciter une concurrence accrue pour les événements de l'automne. Mais les ligues veillent au grain....
Voici la liste des épreuves qui ont modifié la date de leur organisation. Cette liste est régulièrement mise à jour.
Le passage de deux à quatre semaines de confinement, pour cause de coronavirus, n'en est sans doute pas arrivé à sa dernière prolongation. Dans ce contexte, la pratique sportive a été brutalement interrompue avec la menace en cas d'infraction de 135 euros de pénalité majorable à 200 euros en première récidive jusqu'à 400 euros, et portée à 1 500 voire 3 750 euros au-delà de trois récidives assortie de six mois d'emprisonnement possibles. Et le zèle des forces de l'ordre chargées d'endiguer la pandémie est à la hauteur de cet arsenal juridique.
Pas question donc de sortir (sauf peut-être pour un tour de chien) avec des plans d'entraînement suspendus et des triathlètes qui tournent en rond, et doivent faire preuve d'inventivité - dans une certaine limite, en cette période exceptionnelle. La Fédération française de triathlon annonçait d'ailleurs le 13 mars dernier l'annulation des entraînements et des épreuves « jusqu’à nouvel ordre ». Elle précisait d'ailleurs que la part fédérale versée par les organisateurs d'épreuves leur serait remboursée. En attendant, ceux-ci étaient priés soit d'annuler les épreuves, soit de les reporter. Le point sur la situation.
Près de 80 triathlons et épreuves enchaînées en France pourraient être concernés par les mesures d'annulation des épreuves liées à la pandémie de Covid-19. Dans ce contexte exceptionnel, la Fédération française de triathlon et les ligues régionales n'ont pas tardé à réagir.
Des mesures de soutien aux organisateurs de triathlons, duathlons, run & bike et épreuves annulées durant la période de mars à fin mai (pour l'instant), sont annoncées. Le principe, soutenir les clubs et autres organisations, qui comptent souvent sur les subsides dégagés par ces épreuves pour financer leurs activités...
La vie est faite de paris. Et, en m'inscrivant au Caïroman en mars dernier, avec la promesse de faire l'Ironman le plus dur au monde, j'étais loin d'imaginer que je transformerai l'essai en Irlande, sur une autre épreuve extrême, le Hardman, dont l'affiche - quoique floue, était de se frotter au "wild Atlantic"... Très loin des cîmes alpines auxquelles j'aspirais.
Côté météo, l'Irlande est toujours pleine de surprises. Aussi, s'engager pour 3,8 km de natation dans un lac houleux, à en avoir le mal de mer (comme l'an passé), 180 km de vélo nivelés mais surtout ventés voire tempétueux et terminer par une course à pied dans un parc régional animalier bosselé, sur 42 km de marathon laissent à réfléchir...
Neuf podiums du côté des Françaises et onze pour les Français. Les championnats du monde de triathlon 70.3, à Nice, ont permis aux 500 Français en lice sur les 5 500 meilleurs triathlètes amateurs mondiaux d'éprouver leur niveau.
Il faut dire que l'édition 2019 a réuni un plateau exceptionnel. L'organisation Ironman a en effet séparé la course des hommes (dimanche) de celle des femmes (samedi). Une stratégie qui a permis à l'organisation d'augmenter sensiblement le nombre des qualifiés pour le format half (1900 m de natation, 90 km de vélo et 21,1 km de course à pied).
Nice s'apprête à accueillir la crème du triathlon lors des championnats du monde Ironman 70.3 de triathlon. À côté des 130 professionnels, ce sont en effet 5 500 amateurs sélectionnés lors des épreuves qualificatives qui se retrouveront sur le continent européen. Les Français représenteront 10 % des 1 947 femmes et 3 604 hommes.