L'effondrement du nombre de licenciés en 2020 a particulièrement touché les clubs de triathlon. L'effet Covid-19, le confinement, l'interdiction de réunion, l'annulation des épreuves ont en effet provoqué une chute de 20% des licenciés cette année-là.
Si 2021 a marqué une nette remontée des adhésions, celles-ci n'ont malheureusement pas retrouvé leur niveau de 2019 dans toutes les régions... Le défi de 2022 sera donc de relancer le développement des effectifs en triathlon.
Le passage de deux à quatre semaines de confinement, pour cause de coronavirus, n'en est sans doute pas arrivé à sa dernière prolongation. Dans ce contexte, la pratique sportive a été brutalement interrompue avec la menace en cas d'infraction de 135 euros de pénalité majorable à 200 euros en première récidive jusqu'à 400 euros, et portée à 1 500 voire 3 750 euros au-delà de trois récidives assortie de six mois d'emprisonnement possibles. Et le zèle des forces de l'ordre chargées d'endiguer la pandémie est à la hauteur de cet arsenal juridique.
Pas question donc de sortir (sauf peut-être pour un tour de chien) avec des plans d'entraînement suspendus et des triathlètes qui tournent en rond, et doivent faire preuve d'inventivité - dans une certaine limite, en cette période exceptionnelle. La Fédération française de triathlon annonçait d'ailleurs le 13 mars dernier l'annulation des entraînements et des épreuves « jusqu’à nouvel ordre ». Elle précisait d'ailleurs que la part fédérale versée par les organisateurs d'épreuves leur serait remboursée. En attendant, ceux-ci étaient priés soit d'annuler les épreuves, soit de les reporter. Le point sur la situation.
Licences, règlementation, épreuves et natation dans la Seine, challenge longue distance... Jacky Baugrand, le vice-président en charge de la communication de la Fédération française de triathlon fait le point sur les évolutions en cours sur la planète triathlon.
Pour la Fédération, le développement des épreuves enchaînées et l'attrait pour leur pratique nécessitent de les rendre plus lisibles et accessibles. Retour sur la stratégie fédérale.
« Dans la préparation de votre Ironman, il est important de visualiser la ligne d'arrivée plus loin qu'elle ne l'est réellement. C'est vital car certains triathlètes craquent ou tombent peu avant cette fameuse ligne », conseillait Mark Allen, six fois champion du monde Ironman, entre 1989 et 1995, et auteur de véritables démonstrations de force mentale sur ses courses.
Visualiser son objectif, déclencher un geste signal, dépasser certaines phobies et plus généralement améliorer sa préparation mentale... Ce sont les pistes qu'offre la sophrologie. Pour mieux comprendre, Olivia Ricois, sophrologue de B.E Sophro et sportive accomplie nous en détaille les avantages.